Quand on réunit ses équipes dans un séminaire, on se demande toujours si elles seront à la hauteur, si elles adhèreront, si elles seront engagées. Je comprends cette crainte, elle est naturelle. Mais rassurez-vous, la solution est en haut, tout en haut.
Dans les entreprises, l’opposition fait peur. On la combat… Dans la société, l’opposition est devenu un sport clanique, une confrontation de haine et de préjugés réciproque. A-t-on perdu l’art de s’opposer sans se faire la guerre ?
Et si demain on s’opposait à nouveau sans se détester ?
Comment maintenir le bel état d'esprit des équipes, qu'on a parfois vu lors du confinement, alors que le contexte qui l'a fait émerger n’est plus là ? Sûrement pas en prenant de bonnes résolutions...
Nous l’avons tous constaté : en période de crise, deux lames de fond se déploient : la solidarité, et son pendant, le jugement. Et il est très difficile d’être épargné par ce dernier. Preuve en est, en tant que citoyens nous en avons tous été témoins et acteurs ces derniers mois durant la crise du coronavirus : on a jugé le citadin exilé à la campagne, les voisins qui sortaient trop, la gestion de la crise par le gouvernement, et ce n’est d’ailleurs pas fini en période de déconfinement…en fait nous n’avons de cesse de condamner les comportements des uns et des autres.
Et en tant que managers vous n’êtes pas épargnés…
D’aucuns diront que c’est humain, pour autant, ne pas s’en occuper est tout sauf une bonne idée ! D’une part parce le jugement se répand vite et abondamment et d’autre part parce qu’il amène bien souvent davantage à la peur de l’autre, à la défiance et à la dislocation qu’à un débat sain et constructif. Juger n’est pas faire preuve d’esprit critique.
En pleine crise du Coronavirus, on applaudit les personnels soignants à 20h. Rien n’est plus mérité évidemment. Mais sortons de l’émotionnel pur et demandons-nous en bons managers si nous faisons du bien à nos héros en faisant ça…. Et est-ce les bons héros ? En dehors de la crise COVID 19, la question de la valorisation de ceux qui avancent est une question importante : entre légitime félicitation, besoin d’entrainement et effets pervers, faisons le tri.
Stress au travail, empreinte carbone, sur-consommation… Et si on était en train d’assister à la fin de l’entreprise telle qu’elle a triomphé… Et si les espoirs trop souvent déçus de la bienveillance, de la liberté, de la culture du feedback s’expliquaient par le fait que ces démarches cherchent en fait à préserver un système déjà moribond… Et si était venu le temps de l’entreprise apaisée ?
Il n’y a rien de plus important que d’établir de bonnes et saines relations avec ses collègues, son chef ou ses équipes. Pour cela, il y a beaucoup de moyens et d’outils (teambuilding, feedbacks, communication, projet commun).Mais dans la vraie vie, il y a aussi de mauvaises relations de travail. Et là, on n’a plus rien pour nous aider à les gérer. Que faire de nos mauvaises relations ?
A force de vouloir être transparent, on finit par le devenir ! Alors comment faire exister les messages-clés, ceux qui feront la cohérence de votre projet managérial, et engageront vos équipes ?
On a tous une part de rêve en nous ! Le fameux syndrome de Peter Pan, est plus ou moins important, plus ou moins fertile selon les individus mais il existe bel et bien ! Cette caractéristique fondamentale de l’homme est celle qui permet d’aller plus loin, de se dépasser et d’être créatif. Alors pourquoi, quand il s'agit du travail, le rêve est-il synonyme de paresse, de bien-pensance, d'inefficacité ?
Ne tombez pas dans le piège qui consiste à faire de l'agilité votre projet d’entreprise ! Si « Agilité » est votre projet, soit vous avez fait une erreur de marketing qui va desservir votre véritable projet, soit vous avez confondu votre projet d’entreprise et une solution pour atteindre vos objectifs.
L’adage populaire dit que l’on est tous "le con de quelqu’un". Je ne sais pas mais il me semble qu’on est tous le fou de quelqu’un. Récemment, une de nos consultantes trouvait rassurant que tous ses collègues soient d’une façon ou d’une autre, complètement dingues, et qu’elle se sentait, par conséquent, normale… Je suis d’accord avec elle, sauf sur un point : elle n’est pas moins folle que les autres.Mais alors, serions-nous tous fous ? n.b. : cet article ne repose sur aucune compétence médicale. Les termes, utilisés d’un point de vue d’observateur, ne sont employés que dans le sens commun et populaire.
Les frontières de l’entreprise ne sont plus très claires. Il y a des salariés CDI mais on multiplie les CDD et les intérimaires, on externalise le ménage, la sécurité, la paie, les auditeurs, les consultants. Cette population importante est sujette à discussion mais on parle rarement de la façon de les manager. Et si c'était une erreur ? Faisons le point.
Nous le voyons tous les jours quand nous intervenons auprès d’équipe en crise relationnelle, le non-dit est toujours là, en cause racine.Prenant des formes multiples, datant de la veille ou de plusieurs années, dans une relation bilatérale ou dans toute l’entreprise, nous en venons à croire qu’il serait le facteur 0, celui qui explique tout ou presque. Comment le combattre ?
Il faut se rendre à l’évidence, notre optimisme sur le management et les trucs et philosophies que nous prônons ne marchent pas toujours ! Et si nous pensons que le management est accessible à une grande majorité, nous ne disons pas qu’il est bien exercé par tous.L’évidence est que certains managers n’y arrivent pas. En tous les cas, nous rencontrons beaucoup de gens dont le manager serait nul ! Et dans ce cas, ça peut être un enfer… Comment s’en sortir ?
Le retard en réunion est la loi n°1 des réunions réussies ! C’est ce qui agace le plus ceux qui sont à l’heure. Qui irait contester que démarrer à l’heure est une règle d’or ? Et pourtant, si. Non pas que le retard n’ait aucune importance, et la politesse est une valeur importante. Mais traiter ce sujet comme un élément de crispation, un point d’honneur, est la meilleure façon de ne pas le traiter et de rater le morceau de réunion qui vous reste. Voyons pourquoi !
Sans pouvoir nous appuyer sur des statistiques implacables, tant pis pour les rationnels à tous crins qui ne jurent que par ça, nous constatons une raréfaction inquiétante des leaders ambitieux en entreprise.Peur de l’échec, asservissement au système et surcharge de travail ? Un peu de tout ça, mais à quoi bon monter dans l’organisation s’ils n’ont (plus) aucune cause à défendre ?
Mais pourquoi ! Pourquoi alors qu’on connaît tous la courbe de deuil, on l’évite en tant que manager ?! Par peur ? Peut-être… Parce qu’elle est compliquée ? Sûrement pas ! Par pression du résultat ? C’est possible… En tous cas, ce qui est sûr c’est que l’évincer nuit fortement à la santé de vos équipes. Alors comment faire pour prendre en compte et animer efficacement la courbe deuil ?
A l’approche de la fin d’année, il faut faire les bilans de 2015, et dans peu de temps, il faudra présenter ses voeux et lancer 2016… Que dire ? Facile, il faut donner du sens !Cette injonction est en train de devenir l’une des plus impossibles de toutes, tant les incertitudes sont nombreuses, et les décideurs nombreux, éloignés, variés. Comment faire ?
Les réflexions bouillonnent sur le modèle managérial de demain : entreprise libérée, holacratie, collaborativisme, MBTI, Process Com, etc. Le management évolue et nous nous en réjouissons, mais attention au chant des sirènes qui nous éloigne parfois des fondamentaux : faire comprendre et créer de la relation, tout simplement.
Ce qui ne se mesure pas semble ne plus exister. Sacralisé par le M de SMART, le mesurable est devenu une condition nécessaire à l’action : si vous ne pouvez pas le mesurer, vous ne pourrez pas le réussir.Non seulement c’est faux, mais en plus c’est pervers parce que ce qui est le plus important ne se mesure souvent pas…
Quand on s’intéresse au changement dans les organisations et les groupes humains, il est naturel de se confronter à la question du fond : les humains peuvent-ils changer ? Plutôt que de répondre sur le plan psychologique, nous en sommes bien incapables, nous proposons de réfléchir à cette question du point de vue du manager, qui doit faire changer les choses et aimerait souvent pouvoir changer ses collaborateurs pour qu’ils soient plus comme ci, et moins comme ça….Alors, qu’y a-t-il entre nos mains ? Comment actionner les leviers qui marchent sans manipuler ?
Au fil de nos expériences, nous sommes amenés à croiser de très nombreux styles de management, des postures diverses, des myriades de bonnes pratiques. Mais nous n’avons croisé que deux grandes philosophies de management. L’une dont l’archétype pourrait être le roi Arthur et pour l’autre son (pas si) fidèle Lancelot. Si Lancelot semble parfois prendre le dessus, nous militons, nous, pour la revanche d’Arthur !
Au fil des siècles, et surtout des dernières décennies, les outils et les systèmes de performances (stratégique, industrielle, managériale, sociale) se sont accumulés. Cela nous a conduit à construire un fantasme : celui du management parfait. Mais peut-on être un leader, et donc un bon manager, en n’étant que rationnel ?
Près d’un mois après l’immense marche du 11 janvier, l’émotion retombant doucement, le temps est venu de l’analyse et des actes qui changeront ou non la France et l’Occident.Amoureux que nous sommes des Hommes, de leurs libertés, de la vie en communauté et en particulier dans l’entreprise, nous avons eu envie de mettre notre petite pierre au débat en nous demandant comment et pourquoi on mobilise mais aussi qu’en faire.
Aujourd’hui, beaucoup considèrent que le paternalisme est un vestige du passé, qui n’existe que chez certains managers proches de la retraite et que les autres sont rationnels et participatifs. Nos observations sont toutes autres, le paternalisme est partout. Ce n’est pas un « come-back », il n’a jamais disparu… Tout juste s’est-il transformé.
A l’instar de la célèbre « routine du couple » qui dévitalise la relation amoureuse, l’engagement et la mobilisation des équipes sont en danger quand s’installe la « routine managériale ». De la première on fait des milliers de livres et d’articles dans les magazines, de l’autre on ne dit rien. Attention, sinon vos équipes iront voir ailleurs…
Dans la plupart des projets de changement en entreprise, nous constatons l’énorme décalage entre les réactions affectives des collaborateurs de terrain et la posture froide, inflexible et rationnelle de la direction. Cela pose le sujet de la place faite aux émotions dans le management.
Ils n’ont que ça à la bouche : sportifs et commentateurs, formateurs et responsables RH, managers et consultants. « j’ai des valeurs », « il faut des valeurs pour réussir »… Et bien souvent, on se retrouve à découvrir qu’il est mieux d’être honnête, intègre, solidaire, respectueux, que truand, vicieux, arriviste et manipulateur ! Utilisons les valeurs comme elles doivent l’être : PEU !
A part « le loup de Wall Street » et quelques autres, les humains ne sont pas tant motivés par l’argent que ça. Si on les écoute attentivement, ils aiment surtout avoir des histoires à se raconter, à partager avec leurs proches et leurs collègues. Et s’ils racontent beaucoup de mésaventures, les grandes réussites sont quand même leurs meilleures histoires…Et si c’était ça le secret du management ? Donner des histoires à raconter.
Ce que l’on attend de son leader en entreprise, au-delà de ses compétences managériales personnelles, c’est qu’il nous donne une direction, un cap, une vision : nous l’appelons l’Ambition. Sans avoir de statistiques précises, nous pouvons considérer que dans une grande majorité des cas, ces attentes sont déçues. Avant de tirer à boulets rouges sur nos chefs incapables, admettons que cet exercice, bien qu’a priori simple, est loin d’être facile.
A l’instar de l’ouvrage de Christian Salmon paru en 2007, le storytelling a bien souvent mauvaise presse. Décrit comme une « machine à raconter des histoires et formater les esprits », il ne serait qu'une technique créée par les politiques et les capitalistes...
"J’ai raison donc ils auront envie". Il est étonnant de constater que des dirigeants de grandes entreprises, malgré leurs expériences peuvent se bercer d’illusions quand il s’agit de faire changer l’organisation dont ils ont la charge.
Les managers doivent de plus en plus naviguer entre individualisme grandissant (qui plus est à l’heure du post COVID qui pousse davantage à la séparation physique des collaborateurs) et un besoin de communautés structurant. D’autant que malgré les tentations de mettre devant nos intérêts personnels, nous restons des individus sociaux qui ont un fort besoin de communauté pour échanger, nous développer, nous structurer et même nous comparer. Et puis, l’entreprise ne doit-elle pas être ou rester un lieu de vivre ensemble ?
Nous explorerons quelques pistes de solutions pour aider les managers à créer de l’émulation collective avec des espaces d’échange, de la transversalité, et des Aventures collectives à large échelle.
Tout comme les seniors, les jeunes souffrent de nombreux préjugés : issus des générations Y et Z, ils seraient plein d’énergie, créatifs à souhait, zappeurs, indépendants, capricieux…
L’optimisme et le pessimisme : deux énergies, deux ambiances . En entreprise, comme ailleurs, on les oppose très souvent et l’une serait manifestement préférable à l’autre. Pourtant est-ce le cas ? Pas si sûr.
Parce que oui, les deux ont leur utilité ! L’optimisme rend les projets séduisants et génère l’enthousiasme tandis que le pessimisme permet de les rendre plus robustes.
Alors au lieu de chercher à faire gagner l’une sur l’autre, on vous invite à réfléchir à comment utiliser intelligemment ces deux énergies dans vos équipes !
L’optimisme et le pessimisme : deux énergies, deux ambiances . En entreprise, comme ailleurs, on les oppose très souvent et l’une serait manifestement préférable à l’autre. Pourtant est-ce le cas ? Pas si sûr.
Parce que oui, les deux ont leur utilité ! L’optimisme rend les projets séduisants et génère l’enthousiasme tandis que le pessimisme permet de les rendre plus robustes.
Alors au lieu de chercher à faire gagner l’une sur l’autre, on vous invite à réfléchir à comment utiliser intelligemment ces deux énergies dans vos équipes !
Et vous le pressentez… cela peut vite devenir un vrai casse-tête managérial : « Comment parvenir à faire co-exister ces deux énergies dans mon équipe ? », « Quelles doses d’optimisme ou de pessimisme dois-je mettre, et à quel moment ? », « Comment faire en sorte que les uns puissent être entendus par les autres ? ».
Tout n’est pas qu’une question de « savants mélanges » en recherche d’une moyenne un peu molle entre optimisme et pessimisme.
Aujourd’hui, on vous livre notre mode d’emploi… défi managérial garanti !
Beaucoup d’entreprises et de managers pensent faire confiance à leurs équipes, mais est-ce vraiment le cas ? Faire confiance c’est quoi ? Et bien c’est privilégier la confiance a priori et arrêter la confiance sous conditions : arrêter de demander des preuves et de contrôler de manière systématiqur et commencer à donner des opportunités de succès à tous et pas qu’aux meilleurs.
Alors oui, vous aurez parfois l’impression de prendre des risques mais vous verrez que le jeu en vaut largement la chandelle : révéler des pépites parmi vos collaborateurs, créer des dynamiques d’équipe et pas uniquement des succès individuels…et tant d’autres sources de satisfaction qui font du rôle de manager une si belle aventure !
La table ronde du management est un podcast produit par Albus Conseil www.albus-conseil.com/fr/
Au micro : Camille Riou et Patrick Bois
A la réalisation : Mathieu Driot
Dire la vérité semble une vérité en management. Et pourtant, c'est si difficile : entre la peur de réactions incontrôlées, la question de savoir où on s'arrête et tout ce qu'il faut faire pour être crédible quand on le dit ; Il est parfois très tentant de mentir. Pour un manager, déjouer les pièges de la vérité est un vrai enjeu et une exigence morale à l'heure où les fake news envahissent la planète.
Le stress est le grand problème de bon nombre d’entreprises. Il repose évidemment sur des cas individuels et des contraintes locales mais il est aussi probablement, le résultat d’une culture occidentale dont le rapport aux problèmes ne correspond plus tout à fait aux contraintes du monde du 21ème siècle.
Regardons du côté de l’Asie pour voir comment nous améliorer et pondérer l’audace et la combattivité à tout prix !
Face aux grandes transformations, l’humain réagit avec des émotions fortes qu’il est souvent dommageable de nier ! Pour pouvoir gérer toutes ces turbulences en tant que manager, il faut pouvoir les identifier pour ensuite mieux les accompagner. Voyons comment !
Dans la vie d’un manager il y a malheureusement des crises plus graves que d’autres, qu’elles soient entre les managers et leurs équipes ou au sein des équipes. Des crises qui paraissent souvent insolubles et figées, pourtant, il existe des solutions, pas faciles certes, mais elles existent !
Dans la course effrénée à la performance, il est utile de se poser la question de la stratégie pour aller plus vite que ses concurrents !
On constate que nombre d’entreprises misent sur 20% (voire moins !) de leur effectifs pour faire avancer leur organisation et lancent à ce titre des programmes pour les fameux « hauts potentiels ». Ce qu’on en pense ? Quel dommage de laisser de côté tant de potentielles forces vives ! Ce en quoi on croit ? Considérer chaque collaborateur comme un talent et miser sur chacun d’entre eux en les aidant à tous progresser : c’est la stratégie Arthurienne (qui valorise d’abord le progrès), qui s’oppose à celle de Lancelot (qui valorise plutôt la performance), en vigueur généralement.
On le sait tous, le monde au sein duquel nous vivons est incertain, complexe, changeant… et bien naïf ou prétentieux est celui qui prétendra pouvoir prédire l’avenir. Pourtant, si vous voulez rester concurrentiel, vous avez grand intérêt à essayer de vous y projeter dans cette incertitude et d’affirmer : « je pense que l’on devrait aller là ».
La raison est simple : sans un cap fort pour donner du sens à vos actions et à celles de vos équipes, nulle chance de créer une dynamique humaine et une performance pérennes.
Au cours de cette discussion, nous vous aiderons à mieux comprendre l’intérêt d’une vision et nous vous inviterons à vous mettre dans les meilleures dispositions possibles pour la penser et l’écrire. Sachez que l’exercice est parfois difficile mais toujours passionnant et bénéfique !
Aujourd’hui on ne connaît pas une seule entreprise dont les collaborateurs ne se plaignent pas d’un manque de reconnaissance : c’est tout le temps, c’est partout, c’est jamais assez et l’aspect financier s’en mêle toujours… Bref ça ressemble un peu à l’histoire sans fin ! Et en tant que managers ce n’est pas facile de s’en sortir… Or vous le savez, un bon système de reconnaissance est l’une des conditions sine qua none de l’engagement des équipes.
Au cours de cette discussion, on essayera de comprendre en quoi ce sujet de la reconnaissance – grandement lié à la psychologie humaine – est si complexe, pourquoi l’argent est souvent un leurre et quels sont les autres moyens de motiver vos troupes, et surtout de les rendre fières de ce qu’elles font, car au fond, c’est bien là tout le cœur du sujet !
L’histoire du pianiste israélien Yaron Herman et de son mentor, disponible en podcast (référence ci-dessous) casse les codes. Elle montre que le plus important pour un mentor est de comprendre plutôt que d'apprendre.
Vous vous souvenez de Shackleton, cet illustre explorateur parti en 1914 à la conquête de l’Antarctique avec 26 matelots ?Une centaine d’années plus tard on regarde cette Aventure comme une vieille lé...
Il est Suisse, il est jeune et plutôt beau gosse … 3 bonnes raisons me direz-vous de lire ses livres (ou pas), mais figurez-vous, que ses livres sont surtout passionnants !
Si vous êtes allés au cinéma en fin d'année dernière, vous avez peut-être vu le film Brio. C'est l'histoire d'une jeune fille originaire de Créteil, étudiante à Assas qui se retrouve face à un professeur obligé de la coacher en prise de parole. Celle qui avait le "parlé d’un chauffeur Uber » doit représenter l’université à un concours d'éloquence.
5 acteurs, des personnages par dizaines, des histoires à n’en plus finir, vous êtes au théâtre des Béliers Parisiens et vous êtes en train de regarder « Le porteur d’Histoire » d’Alexis Michalik, sa pièce d'avant le fameux « Edmond ».
Le pitch : 6 enfants vivent en totale autarcie dans la forêt, éduqués et guidés par leur père. Cette tribu vit en décalé du monde moderne, et s'est façonné un univers singulier avec leurs propres façons de penser, codes, organisation etc.
Qui ne connaît pas Samson et Dalila ? Récit biblique tiré de l’ancien testament et repris en opéra, en film... Cette histoire nous invite à repenser le rapport à nos ennemis, non pas en termes de morale ou par amour du prochain, mais par pure stratégie et pragmatisme !
Pourquoi l’Homme sage (Homo Sapiens), qui a vécu pendant des dizaines de milliers d’années comme un acteur lambda sur Terre, s’est mis tout à coup à dominer le monde. C’est la question que s’est posée Yuval Noah Harari dans son livre Sapiens, une brève histoire de l’humanité (Albin Michel, 2015). Un livre érudit, original et irrévérencieux.
Manager parisien ou de passage à Paris, courez voir au musée du quai Branly l’exposition « Chirac ou le dialogue des cultures » jusqu’au 9 octobre 2016. L’exposition est hagiographique peut-être mais votre coeur penche à gauche. Car au-delà des oeuvres, on y voit la conviction se former petit à petit pendant le long parcours de l’ex-président, autour de la nécessité de faire dialoguer les cultures pour défendre la paix dans le monde.
Dans Recherche femme parfaite, livre écrit par Anne Berest (Grasset, 2015), une photographe se met en quête de la femme parfaite. Elle demande à son entourage de lui indiquer des femmes perçues comme telles.
Georges Lucas a transposé dans l’espace le récit le plus fréquent de l’humanité. C’est fou de voir que tous les leviers humains sont décrits dans les mythes, de l’Iliade à Star Wars !
Vous avez déjà entendu mille fois « de toute façon l’échec était couru d’avance avec aussi peu de moyens »...Hé bien non. Pour Simon Sinek, conférencier TED plutôt convaincant, c’est d’abord parce qu’on sait pourquoi on fait les choses qu'on les réussit.
Magistrale prise de parole de Barak Obama après la terrible tuerie raciste de Charleston ! Jetez vous sur youtube au moins pour regarder la fin de son discours https://www.youtube.com/watch?v=WmRAxJIa0...
Vous allez dire que nous voyons des leçons de management partout et que nous passons des soirées soporifiques à regarder nos VHS oubliées, nous assumons avec cette fois-ci le classique "Un jour sans fin".
Little Bouddha n’est pas le film du siècle, avouons-le, et ce n’est pas pour sa qualité artistique que nous vous le conseillons ce mois-ci… mais plutôt pour les mécanismes de la prise de conscience qu'il révèle.
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