C’est un irritant qui revient quasiment chez chacun de nos clients : « on travaille trop, on n’a pas le temps de traiter les problèmes de fond, de prendre son temps... »
Voyons pourquoi on croit que ce n'est une fatalité... et explorons quelques pistes.
Si vous avez grandi dans les années 2000, vous connaissez forcément cette série. Pour les autres, prenez le temps d’y jeter un coup d’œil !
On n’est pas déformés par notre boulot au point de tout regarder sous le prisme du management (quoique) mais cette série vaut l'exercice : au-delà d’être sympa à regarder, chaque personnage représente de grandes caricatures du management, sans oublier toutefois de leur attribuer de la consistance et parfois même un peu de nuance.
Lorsqu’on a une annonce compliquée à faire, on a tendance à mettre les difficultés du projet sous le tapis, alors qu’il vaut mieux les mettre en évidence. Ça demande du courage mais c’est tellement plus efficace !
C’est un grand classique de nos débuts d’années : à peine les coupes de champagne se sont-elles entrechoquées que la sempiternelle question affleure sur les lèvres : et toi, quelles sont tes bonnes résolutions pour cette nouvelle année ? Quels objectifs te fixes-tu ? Et si cette question concerne souvent plus les projets d’ordre personnel, elle colore également fortement les débuts d’année des managers (« cette année, on double nos ventes ! » « on se forme tous à tel nouvel outil ! » « on recrute davantage ! » etc.).
Quand on manage, il est bien compréhensible de vouloir orchestrer l’année de son équipe autour d’objectifs précis. Mais finalement, le recours systématique aux objectifs pour organiser et quadriller son année ne serait-elle pas une fausse bonne idée ? Et si finalement ne pas tenir coûte que coûte ses objectifs était plutôt une bonne chose ?
D’un côté les enquêtes du personnel, les groupes d’expression, les consultations diverses… De l’autre les études marketing, le client qu’il faut mettre au centre…. Au milieu vous, managers, qui devez répondre à 1000 injonctions, souvent contradictoires… C’est anxiogène non ? Et bien, vous verrez que c’est souvent inefficace en plus…. Alors, on écoute moins ?
Saturation ! En ce moment, c'est un mot qu'on entend beaucoup dans les entreprises, signe que la coupe est pleine sur beaucoup d’aspects. On pourrait y voir une fatalité liée à l’accélération, et aux conditions imposées par la période. En fait, c’est surtout le signe qu’on s’y prend mal avec ce sujet, parce qu’on manque d’imagination pour y remédier.
Assez fréquemment, on voit dans les entreprises se former des équipes de bons soldats. Alors, sur le papier, soyons honnêtes, c’est alléchant. Efficaces, fiables, ils délivrent et ça nous rassure. Mais cette situation est-elle vraiment profitable pour vous et pour votre entreprise sur le long terme ? Et quelles en sont les implications pour vos bons soldats ? Je vous propose d’y réfléchir ensemble.
Pas une boite où les managers intermédiaires ne soient « coincés entre le marteau et l’enclume ». Difficultés à tenir la position, trop souvent « du côté du terrain », tiraillés entre leur loyauté à la hiérarchie et celle à leurs équipes, les managers de terrain sont presque toujours le maillon faible des organisations. Mais pourquoi est-ce si systématique ? Depuis si longtemps ? A-t-on les bonnes attentes vis à vis d’eux ?
De toutes les émotions qui traversent les individus en entreprise, il en est une qui est peu visible, tenace et qui provoque des conséquences particulièrement néfastes quand elle n’est pas traitée, c’est le malaise.
Or levons le doute tout de suite : ce n’est pas le malaise qui pose un problème en soi, car c’est un révélateur sain de nos désaccords, mais bien son traitement. On est mal à l’aise d’exprimer son malaise ! Et les conséquences en management sont dramatiques : messes basses et formation de clans, résignation et désengagement, réveil tardif alors que le projet est déjà engagé.
Comment maintenir le bel état d'esprit des équipes, qu'on a parfois vu lors du confinement, alors que le contexte qui l'a fait émerger n’est plus là ? Sûrement pas en prenant de bonnes résolutions...
Aujourd’hui le mode projet est roi dans les grandes entreprises. C’est logique, le temps s’accélère, et il faut s’adapter de plus en plus vite aux nouvelles données du contexte, en impliquant tous les services. Et pour piloter tous ces projets, il faut des chefs de projet, qui se trouvent donc en situation de manager en transversal.Déjà que manager une équipe dans le cadre de relations hiérarchiques n’est pas forcément évident, là, le management transverse amène des contraintes supplémentaires qui le rend d’autant plus délicat… mais aussi enthousiasmant !
Un nouveau syndrome managérial est apparu, produit malfaisant de la frénésie galopante des entreprises. De la famille des torticolis, ses symptômes sont clairs : incapacité à regarder derrière, à prendre en compte l’historique pour construire l’avenir, à célébrer les victoires, à s’inscrire dans la continuité. Seul remède : accepter d’être à contre-courant en prenant en compte le passé !
Bien sûr, le courage, la capacité à prendre des décisions, la proximité, sont des qualités très appréciées dans les entreprises. A trop les solliciter cependant, on se transforme en « super-héros » qui empêche les équipes de grandir et de développer leur propre héroïsme. Ce n’est pas que dommage, c’est parfois un danger.
Les encadrants dans les grands groupes dansent une valse à 3 temps : récupérer une équipe, la manager, la passer à un autre, récupérer une équipe, etc… Dans cette ronde, un passage presque obligé, se passer les dossiers, et un drame : ne pas avoir de période de recouvrement suffisante pour tout se dire… Et bien, gagnons un peu de temps et cessons de faire des passations pour les collaborateurs… Complètement !
A l’époque où on parle de droit à l’oubli numérique, c’est-à-dire qu’on demande à des machines d’oublier ce qu’elles savent sur des personnes, il serait peut-être temps d’évoquer le droit à l’oubli pour les managers ! Et même bien plus que le droit, car c’est finalement une question d’hygiène managériale que d’oublier ce qui n’est pas utile à l’efficacité collective ou à l’accomplissement de sa vision. Dans un contexte de surabondance d’informations et de psychose de la traçabilité, il paraît nécessaire sinon vital de prendre le temps d’oublier.
Ça y est, cette année, vous prenez votre courage à deux mains, et décidez de vous appuyer sur les remontées terrains et de favoriser le passage à l’action. Et là, chou blanc, rien ne se passe, tout le monde se regarde en chien de faïence et personne n’agit. Ils attendent et vous aussi. Mais pourquoi n’agissent-ils pas ?
Voilà sûrement la plus mauvaise des bonnes idées de ces dernières années ! Instaurer une rémunération au mérite individuel pour récompenser les meilleurs semble logique, mais on a tout faux. Non seulement c’est difficile à faire accepter aux partenaires sociaux, mais une fois en place c’est absurde, pervers, et finalement contre productif.Nous profitons du fait qu’une entreprise du CAC 40 ( LVMH, excusez du peu) vienne de supprimer cette mesure pour partager notre joie, et expliquer ce qui nous semble être une excellente décision.
Parfois en gestion des temps difficiles, un manager se trouve démuni parce qu’il voit que, quoi qu’il dise, le terrain doute de sa bonne foi, ou suspecte l’info cachée… Comment créer de la confiance face à la défiance généralisée ? On est en plein débat Kennedy : comment résister avec un interlocuteur qui argumente sur ce qui est caché ?
Faut-il savoir faire tout ce que ses équipes font, et prendre la main à tout instant ? Ou faut-il garder un œil extérieur et s’appuyer sur les compétences de son équipe sans les acquérir soi-même ?Cette question revient fréquemment et on trouve des défenseurs très convaincus des 2 côtés… Etat des lieux.
Nous les avons tous en entreprise : l’éternel grincheux, l’expert nul dans la relation, le jeune loup dévoré d’ambition, la jeune prodige à qui tout réussi, etc. Globalement, nous avons moyen de décrire les gens en 5 mots maximum (sinon, ça ne tient pas sur l’étiquette). Comme une sentence définitive…Et si ces « étiquetages managériaux » étaient aussi des boulets pour l’entreprise ?
Parmi les histoires que tout le monde connaît sur la vie des entreprises, il y a la légende de la réponse parfaite à la question d’un recruteur « quel est votre principal défaut ? » qui serait « Le perfectionnisme ! ».Après avoir vu les dégâts du perfectionnisme dans de nombreuses entreprises, nous ne partageons pas du tout cette vision. C’est un poison tenace aux conséquences innombrable auquel nous déclarons la guerre !
Les frontières de l’entreprise ne sont plus très claires. Il y a des salariés CDI mais on multiplie les CDD et les intérimaires, on externalise le ménage, la sécurité, la paie, les auditeurs, les consultants. Cette population importante est sujette à discussion mais on parle rarement de la façon de les manager. Et si c'était une erreur ? Faisons le point.
Nous le voyons tous les jours quand nous intervenons auprès d’équipe en crise relationnelle, le non-dit est toujours là, en cause racine.Prenant des formes multiples, datant de la veille ou de plusieurs années, dans une relation bilatérale ou dans toute l’entreprise, nous en venons à croire qu’il serait le facteur 0, celui qui explique tout ou presque. Comment le combattre ?
La prise de poste est un moment important pour un manager ; c’est un changement pour tout le monde, le manager et les managés. C’est le moment où l’on pose les bases de son management.Et on a donc tendance à vouloir aller vite. Et bien nous, nous pensons qu’au contraire, il faut aller lentement.
Le management participatif est à la mode. C'est l'accessoire du manager comme les lunettes du comptable ou la barbe du vrai hipster. Et comme c'est à la mode, certains se singularisent en le critiquant et en prônant le retour du "patron qui patronne".Alors, le participatif n'est-il qu'une mode ?
« Il faut toujours faire valider, re-valider, ensuite untel re-valide… »Qui ne s’est jamais senti enfermé dans la spirale des validations au sein d’un projet ? La sacro-sainte validation est partout dans nos entreprises… Et si on s'en passait ?
On a parfois du mal, en tant que manager, à faire un feedback négatif à un collaborateur de son équipe. Et même si cela est nécessaire on comprend très bien les raisons de cette hésitation. En revanche, beaucoup plus étonnant : on a parfois aussi du mal à faire des feedbacks positifs.
Le retard en réunion est la loi n°1 des réunions réussies ! C’est ce qui agace le plus ceux qui sont à l’heure. Qui irait contester que démarrer à l’heure est une règle d’or ? Et pourtant, si. Non pas que le retard n’ait aucune importance, et la politesse est une valeur importante. Mais traiter ce sujet comme un élément de crispation, un point d’honneur, est la meilleure façon de ne pas le traiter et de rater le morceau de réunion qui vous reste. Voyons pourquoi !
On tourne autour du pot depuis plus de 3 ans que nous écrivons des articles, et il faut bien que nous vous disions les choses très directement, nous adorons le management et nous adorons les managers. Bref pour nous, le meilleur job du monde n’est pas sur une île déserte en Australie, c’est le management.Alors, en cette période de fête, nous avons eu envie de partager avec vous pourquoi nous aimons tant ce métier, et comment, quand on l’exerce, y prendre tout le plaisir qu’il peut apporter.
Levez le nez du guidon, c'est plus dur que d'accuser les autres. Dans la frénésie qui fait loi, il serait bon simplement de prendre du recul et de regarder la situation avec sang froid. Sauf que cette évidence est un voeu pieux. Les managers nous font remarquer, parfois avec dureté, que si on était à leur place, on verrait à quelle pression ils sont soumis, et que vraiment ils sont sous l’eau. Les bonnes résolutions du type 1h pour soi chaque semaine ou chaque jour sont rarement tenues, sauf par ceux qui ont toujours su les préserver (il en existe, si si). Parce qu’évidement, prendre la décision de s’arrêter pour analyser la situation sereinement, c’est déjà une grosse prise de recul. Bref, c’est un conseil qui n’a d’effet que pour ceux qui n’en n’ont déjà plus besoin.
Sans pouvoir nous appuyer sur des statistiques implacables, tant pis pour les rationnels à tous crins qui ne jurent que par ça, nous constatons une raréfaction inquiétante des leaders ambitieux en entreprise.Peur de l’échec, asservissement au système et surcharge de travail ? Un peu de tout ça, mais à quoi bon monter dans l’organisation s’ils n’ont (plus) aucune cause à défendre ?
Tous ceux qui s’intéressent au change management le savent, il faut DONNER DU SENS, expliquer pourquoi on veut changer. 100% d’accord, mais alors il faut se dire les choses : on change souvent pour une ambition très enthousiasmante mais aussi pour faire face à une menace potentiellement dangereuse. Parler de la première en éludant la seconde, c’est de l’angélisme, et ça se paye.
Dès qu’un fonctionnement d’équipe ne satisfait pas, les acteurs brandissent le besoin de « repréciser les rôles et responsabilités ». Ça paraît sain, inattaquable sauf que ça demande souvent du temps et que c’est presque toujours inutile. Comme cela nous détourne souvent de la solution, nous l’appelons le leurre parfait.
« Je suis débordé » « Pas le temps de m’occuper de ça » « Aucune dispo »… Les managers qui renvoient les signes d’un débordement permanent de leurs agendas sont nombreux, peut-être de plus en plus nombreux…. Face à ça, les techniques pour optimiser le temps et gérer les priorités fleurissent mais ne semblent pas prendre sur les managers les plus atteints . Pourquoi ? Comment les aider ?
Le management est un art complexe aux conséquences nombreuses. Nous faisons tous des erreurs dans notre management et elles sont souvent indispensables pour progresser.Certaines, en revanche, sont à la fois toujours contreproductives, parfaitement évitables et pourtant régulièrement commises. Celles-là, nous souhaiterions les éradiquer et nous les avons appelées « les 5 erreurs du management ».Bien sûr, nous n’alerterons pas sur les erreurs classiques (ne pas assez écouter, ne pas expliquer pourquoi on fait les choses) que vous connaissez tous même si l’exécution est difficile. Non, là, nous nous intéresserons aux pièges dans lesquels nous sommes tous tombés et dont on minimise souvent la portée.
Aujourd’hui les entreprises sont confrontées au fait que beaucoup n’ont pas ou plus envie de manager : parce que le management c’est surtout du bullshit, parce que c’est la technique qui prime, parce que c’est ingrat…Et c’est un problème, parce qu’un bon management reste quand même la clé de voûte d’une organisation performante durablement.
Dans ce podcast nous vous donnerons des clés pour donner vraiment envie de se mettre à manager. On verra que convaincre fonctionne peu et que c’est surtout par l’expérimentation, la déconceptualisation, les 1ères victoires que naissent le plaisir et l’addiction à l’un des plus beaux métiers qui soit : manager.
Qu’on le veuille ou non les organisations hiérarchisent les fonctions : il y a les fonctions stars et les autres, ces fonctions invisibles mais sans qui rien n’est possible ! Parmi ces fonctions de l’ombre on pense par exemple à l’IT, à la compta, à la maintenance…Bref, tout ceux sur qui on râle quand ça ne marche pas et dont on banalise le travail (et les victoires !) au quotidien.
Dans cet épisode nous essayerons de trouver des solutions pragmatiques pour aider les managers à valoriser et animer ces équipes, en leur donnant (enfin !) leurs lettres de noblesse !
Dans la grande majorité des entreprises, on évalue les collaborateurs, pour faire le point sur l'année écoulée, pour fixer de nouveaux objectifs, pour discuter de la trajectoire des prochaines années...Bref un moment très important pour le collaborateur !
Savoir s'opposer c'est à la fois un rêve (de panache) et une cessait pour que les décisions prises soient les meilleures.
Mais c'est si difficile dans des univers souvent policés, susceptibles, pas aussi bienveillants qu'affiché.
Tous les projets de grandes ou petites transformations sont de plus en plus monnaie courante en entreprise et pour les mener à bien, un bon dialogue social est nécessaire... Or cela est loin d'être facile. On vous donnera notre avis sur cette épineuse question en vous livrant quelques recommandations et en vous indiquant les principaux pièges à éviter. Mais sachez qu'il s'agit de toutes façons d'une démarche long-terme comme tout changement culturel...
Dire la vérité semble une vérité en management. Et pourtant, c'est si difficile : entre la peur de réactions incontrôlées, la question de savoir où on s'arrête et tout ce qu'il faut faire pour être crédible quand on le dit ; Il est parfois très tentant de mentir. Pour un manager, déjouer les pièges de la vérité est un vrai enjeu et une exigence morale à l'heure où les fake news envahissent la planète.
Il est communément admis que les situations difficiles sont difficiles à manager et les situations plus positives, plus faciles. C'est pourtant loin d'être automatique car l'adversité génère de nombreuses opportunités managériales... Encore faut-il les saisir ! Et la croissance peut se révéler destructrice de collectifs, si on y prend pas garde.
Animer une communauté, fédérer autour d'une quête commune, embarquer dans une aventure... Autant de tâches qui incombent à un bon roi et donc à un bon manager ! Dans cet épisode, vous comprendrez pourquoi son rôle est plus limité - mais pas plus difficile - qu'il n'y parait, et surtout les pièges dans lesquels il est tentant de tomber.
Motiver ses équipes est forcément une des missions les plus ardues du manager. Et cela entraîne fréquemment une tension avec ses collaborateurs : comment faire faire à quelqu'un quelque chose qu'il ne veut pas faire, ou du moins faire comme vous le souhaitez ? La solution est loin d'être simple mais avec les bons ingrédients, elle devient possible. Il faut leur proposer une aventure capable de les rendre fiers de ce qu'ils sont et de ce qu'ils font. Votre job ? Créer les conditions pour rendre l'Aventure possible !
Face aux grandes transformations, l’humain réagit avec des émotions fortes qu’il est souvent dommageable de nier ! Pour pouvoir gérer toutes ces turbulences en tant que manager, il faut pouvoir les identifier pour ensuite mieux les accompagner. Voyons comment !
Dans la vie d’un manager il y a malheureusement des crises plus graves que d’autres, qu’elles soient entre les managers et leurs équipes ou au sein des équipes. Des crises qui paraissent souvent insolubles et figées, pourtant, il existe des solutions, pas faciles certes, mais elles existent !
L’opposition ne dois pas être un truc d’ego c’est l’expression de votre sensibilité, de vos intuitions, de vos analyses. Pour y réfléchir ce mois-ci je choisi un opposant surprenant, un opposant à tout mais à personne, un libre penseur. Edouard Baer.
Aujourd’hui, on parle de jeux vidéo et pas n’importe lesquels : la saga des SoulsBorne des studios From Software (Demon’s Soul, Dark Souls I, II et III et Bloodborne).
On ne sait pas ce que vous vous avez fait à Noël, mais on peut vous dire que beaucoup auront regardé un film classé dans le TOP 5 des films de fin d’année à regarder en famille : Die Hard avec Bruce Willis.
Bohemian Rapsody, le film de Bryan Singer retraçant la vie de Freddie Mercury est enthousiasmant à plus d’un titre. Déjà parce que la musique y est omniprésente, parce que le parcours personnel de Freddie Mercury est touchant, mais aussi parce qu'on assiste à des moments clés de l'histoire du groupe Queen. On assiste aux débuts du groupe puis à son essor. Et ce qu'on observe est très intéressant.
Le DRH est en train de devenir un personnage de fiction, le symbole du capitalisme un peu aveugle : « Merci Patron » brulot politique, Ressources Humaines (Benjamin Biolay) sur le discours un peu lénifiant du licenciement, The Office (version anglaise surtout) sur l’absurdité managériale… Et puis il y a « Les mains d’Or », sublime ballade de Lavilliers…
Il y a 2 histoires qui portent le même nom ; celle qui nous intéresse aujourd’hui est la suivante : c’est une petite poule rousse qui trouve un grain de blé et qui propose à ses amis le canard, le cochon et le renard de l’aider à les semer. Mais ses amis ne veulent pas venir l’aider car ils sont tous très occupés... Alors elle se débrouille toute seule, et lorsqu’elle a planté, récolté, moulu, pétrit et cuit son pain, ses amis se présentent pour le manger, elle refuse alors et garde le pain pour elle seule.
C’est ce que nous donne à entendre et à voir Felix Van Groeningen dans son film Alabama Monroe, où la musique joue un rôle prépondérant, et vient sublimer les moments les plus noirs comme les plus joyeux.
Si vous êtes allés au cinéma en fin d'année dernière, vous avez peut-être vu le film Brio. C'est l'histoire d'une jeune fille originaire de Créteil, étudiante à Assas qui se retrouve face à un professeur obligé de la coacher en prise de parole. Celle qui avait le "parlé d’un chauffeur Uber » doit représenter l’université à un concours d'éloquence.
La jolie scène du métro n’aura pas échappé à ceux qui ont vu le film "Les heures sombres", réalisé par Joe Wright avec Gary Oldman. Pour les autres, ce film retrace les premiers jours de l’arrivée au pouvoir de Churchill en 1940, alors que l'Angleterre se posait la question de pourparlers de paix avec l'Allemagne.
Ce mois-ci, nous voyageons dans les Balkans avec le dernier spectacle de cirque de la famille Romanès « Les nomades tracent les chemins du ciel ». Imaginez, samedi après-midi, Porte Maillot à Paris. Vous entrez sous le chapiteau du dernier cirque tzigane d'Europe. Les derniers spectateurs s'installent. Noir. La grande tribu Romanès (du grand-père Alexandre à ses petites-filles) salue le public et hop, ça commence.
Dragon Ball Z, le manga culte d’Akira Toriyama fêtait ses 30 ans l’année dernière. Ce manga connait toujours un énorme succès mondial et a même entamé une nouvelle saison à la demande des fans en 2016.
5 acteurs, des personnages par dizaines, des histoires à n’en plus finir, vous êtes au théâtre des Béliers Parisiens et vous êtes en train de regarder « Le porteur d’Histoire » d’Alexis Michalik, sa pièce d'avant le fameux « Edmond ».
Le Petit Poucet c’est un garçon, tout petit certes, mais qui se sort toujours extraordinairement bien des situations que lui impose la vie. Mais alors comment se fait-il que ses parents ne voient pas cette énorme qualité et l’abandonnent comme un truc qui sert à rien ?!
Ce site web utilise des cookies, uniquement à des fins statistiques. Ils nous permettent de connaître la fréquentation de notre site web, et les contenus qui vous intéressent.